Lecture Expressive Le Pont Mirabeau

Lecture Expressive Le Pont Mirabeau



« Le pont Mirabeau » se présente sous les traits d’un poème d’amour puis d’un poème de rupture. Toutefois, sa lecture permet de considérer qu’il s’agit également d’un texte résolument moderne dans ses choix poétiques, dans son écriture, dans sa présentation.

5/18/2015  · LE PONT MIRABEAU . Apollinaire et Marie Laurencin passaient souvent par le pont Mirabeau , un chef-d’œuvre de technique et d’élégance architecturale qui fut construit entre 1893 et 1896 pour relier directement les quartiers d’Auteuil et de Passy, rive droite, avec ceux de.

Le pont de nos bras passe Des éternels regards l’onde si lasse L’amour s’en va comme cette eau courante L’amour s’en va Comme la vie est lente Et comme l’Espérance est violente Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Le mètre Les vers ne sont pas réguliers : il y a des, Dans le premier vers, qui est banal, le poète décrit, sur un ton tout à fait objectif, le mouvement de l’eau de la Seine qui coule sous le pont Mirabeau . Le vers suggère en même temps une permanence, car, malgré la fuite de l’eau, la Seine reste toujours la Seine. L’image du pont , opposée à celle de, 2. Lecture du poème : Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu’il m’en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de….

3/8/2018  · C’est un document radiophonique exceptionnel, enregistré entre 1911 et 1914. Le son, certes lointain, donne à entendre la voix de Guillaume Apollinaire lui-m…

« Le Pont Mirabeau » Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il que je m’en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont et je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l’onde si lasse, Le Pont Mirabeau , à Paris. Et cyclique. Le premier marqueur de cet éternel retour est évidemment la présence d’un refrain: Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure. En outre, les deux formulations en miroir « Main dans la main » et « face à face » renvoie à cette répétition.

Dans quelques semaines, le 9 novembre, il y aura cent ans que Guillaume Apollinaire est décédé de la grippe espagnole. Ce poète immense a laissé des textes d’une grande force consacrés à son expérience de la première guerre mondiale, et publiés dans son recueil Calligrammes (1918). Des poèmes comme Mutation, Un oiseau chante ou Fusée-signal (d’autres plus connus comme Le pont …

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